Quand les monts italiens Aventin Palatin
Surplombant et de tout temps la Rome éternelle
Sont tour à tour franchis par une ritournelle
De trouvère s’ouït le cri d’un pâle atteint
De son bas celui-ci lève la tête et voit
Le trouvère pincer les cordes de sa lyre
Avec cette harmonie qu’il n’est besoin de lire
Sur sa bouche les mots aussi beaux que sa voix
Quand dans la plaine avec son si fidèle ami
Il fredonnait quelques airs gais de chansonnette
Qui auraient pu plaire à un grand serpent sonnette
Faisait fi son cœur haut perché d’un tsunami
Il croyait qu’il était arrivé au sommet
Et que rien ne pouvait jusqu’à ses reins l’atteindre
Au moment où il dut s’obliger à éteindre
La lueur bleutée que dans ses yeux le sot met.
Surplombant et de tout temps la Rome éternelle
Sont tour à tour franchis par une ritournelle
De trouvère s’ouït le cri d’un pâle atteint
De son bas celui-ci lève la tête et voit
Le trouvère pincer les cordes de sa lyre
Avec cette harmonie qu’il n’est besoin de lire
Sur sa bouche les mots aussi beaux que sa voix
Quand dans la plaine avec son si fidèle ami
Il fredonnait quelques airs gais de chansonnette
Qui auraient pu plaire à un grand serpent sonnette
Faisait fi son cœur haut perché d’un tsunami
Il croyait qu’il était arrivé au sommet
Et que rien ne pouvait jusqu’à ses reins l’atteindre
Au moment où il dut s’obliger à éteindre
La lueur bleutée que dans ses yeux le sot met.